Soins médicaux d'entreprise
L'employeur a ce qu'on appelle un devoir de diligence, c'est-à-dire qu'il doit concevoir les lieux de travail de manière à éviter les risques pour la santé des employés. Dans cette tâche, il est soutenu par le spécialiste de la sécurité au travail et le médecin du travail. Les soins médicaux en entreprise sont régis d'une part par la loi sur la sécurité au travail (ASiG) et d'autre part par le règlement de l'association d'assurance responsabilité civile des employeurs pour les médecins d'entreprise (BGV A 7) et le règlement sur la prévention des accidents (DGUV V2). Les médecins d'entreprise peuvent être employés en tant que salariés de l'entreprise ou peuvent également être nommés en tant que médecins d'entreprise indépendants.
Que fait un médecin du travail ?
Un médecin d'entreprise est censé soutenir une entreprise en matière de sécurité au travail et de prévention des accidents pour toutes les questions de santé au travail. Il examine par exemple dans quelle mesure les lieux de travail sont aménagés conformément aux aspects de la médecine du travail et des sciences du travail, effectue des évaluations des risques et conseille les entreprises sur l'acquisition d'équipements et de matériels de travail. Conseiller l'employeur sur l'organisation des premiers secours et des visites médicales du travail fait également partie des attributions du médecin d'entreprise.
Un médecin du travail peut-il refuser l'achat d'un siège ergonomique, comme le Aeris Swopper, dans l'entreprise ?
Non, car l'employeur est le seul à décider de l'acquisition d'équipements de travail. Pour prendre sa décision, il consulte tous les organes responsables de la santé des employés, tels que le responsable du personnel, l'ingénieur de sécurité, le responsable de la santé et aussi le médecin d'entreprise. Toutefois, c'est l'employeur qui a le dernier mot.
En règle générale, les médecins du travail préconisent l'utilisation du Aeris Swopper, car il a été scientifiquement prouvé à plusieurs reprises qu'il permet un mouvement particulièrement naturel en position assise (plus de deux fois plus que les chaises de bureau conventionnelles). Grâce à son système breveté Technologie 3D il s'adapte au modèle de mouvement individuel de la personne. Et cela fait du bien à la plupart des gens. Surtout pour ceux qui se sont déjà cassé le dos sur des chaises traditionnelles.
Dans quelques cas, l'utilisation du Aeris Swopper n'est toutefois pas soutenue par les médecins du travail. La raison en est que la norme DIN EN 1335 recommande un dossier. Certains médecins du travail craignent donc que le Aeris Swopper ne remplisse pas les conditions requises par la législation en matière de sécurité du travail ou d'assurance accident.
Mais le fait est que la norme DIN 1335 ne représente qu'une exigence minimale qui doit être remplie pour protéger les collaborateurs. Il faut cependant tenir compte de la situation individuelle de chaque collaborateur. Un employeur et un médecin du travail conscients de leurs responsabilités n'obligeront pas un employé qui souffre de maux de dos lorsqu'il est assis sur un siège de bureau conventionnel conforme à la norme DIN 1335 à rester assis sur son siège de bureau conforme à la norme DIN en s'asseyant sur le Aeris Swopper, car sa santé s'améliore.
La santé et les performances à long terme des employés devraient en fin de compte être le critère décisif pour la sélection/l'utilisation d'un siège de bureau.
Il est également possible d'ajouter un dossier au Aeris Swopper si nécessaire. De plus, le Aeris Swopper est homologué TÜV et GS, peut être utilisé sur tous les postes de travail et offre une couverture d'assurance complète. Par conséquent, dès que l'employeur a décidé que le Aeris Swopper est utile pour chaque collaborateur, cette décision est également contraignante pour l'association professionnelle et l'inspection du travail. Et le médecin du travail doit également accepter cette décision.
Et dans la version Aeris Swopper avec dossier et type de jambe à ressort Low (Swopper Work), le Aeris Swopper répond également à la norme DIN EN 1335 pour les Sièges de travail.
Références individuelles
Mon livre de dos, Prof. Dr. Dietrich Grönemeyer, Verlag Zabert Sandmann, 2004
